On dit parfois, avec une pointe de sarcasme, que les économistes excellent à expliquer après coup des événements qui se sont produits la veille.
Au début de 2012, nous avons dressé une liste des cinq principaux facteurs économiques que les producteurs et les agroentreprises devraient surveiller. Comme l’année tire à sa fin, le moment est venu de réfléchir aux répercussions que ces facteurs ont eues sur le revenu agricole net et sur la rentabilité de l’industrie agroalimentaire.
La croissance économique mondiale
La croissance des revenus dans les marchés émergents demeure l’un des plus importants moteurs de la demande alimentaire et des prix à la ferme. Par conséquent, nous avions classé les obstacles à la croissance économique mondiale au premier rang des enjeux économiques à surveiller en 2012.
Malheureusement, la crise de la dette souveraine en Europe demeure bien réelle. Outre le ralentissement qu’elle a entraîné dans l’ensemble des économies européennes, la crise a eu des impacts négatifs sur d’autres pays, comme la Chine, dont la croissance économique a ralenti durant l’année. Par chance, la demande mondiale de céréales fourragères, de céréales et de viande est demeurée vigoureuse tout au long de l’année.
L’évolution de l’environnement politique
Au début de l’année, nous savions que l’environnement politique entourant l’agriculture canadienne était appelé à changer, à commencer par la déréglementation de la Commission canadienne du blé.
Les changements subséquents au chapitre de la commercialisation de l’orge et du blé dans l’Ouest canadien ont figuré parmi les plus importants bouleversements auxquels ont été confrontés les producteurs canadiens cette année.
À l’extérieur du Canada, toutefois, l’environnement politique est demeuré essentiellement inchangé.
Du côté des États-Unis, même si la loi agricole (Farm Bill) a expiré en octobre 2012, le Congrès et le président ne se sont toujours pas entendus sur un nouvel ensemble de politiques agricoles pour les producteurs américains. Par ailleurs, les négociations commerciales entre le Canada et l’Union européenne pourraient être finalisées au début de 2013. Et même si le Canada a été admis en 2012 à la table des négociations visant à élargir le Partenariat transpacifique, cela pourrait prendre encore des années avant qu’intervienne une entente qui améliorerait l’accès du Canada aux marchés du Pacifique.
Les perspectives de production
Nous avons placé les conditions de production en Amérique du Sud et dans le Sud-Ouest des États-Unis au troisième rang des principaux facteurs à surveiller.
Nous pressentions que les conditions météorologiques en 2012 pourraient jouer un rôle important; cependant, nous n’avions pas prévu l’ampleur de la sécheresse qui a touché le Midwest des États-Unis et ses répercussions sur les marchés agricoles en 2012 et sur l’ensemble de la prochaine campagne de vente.
Plus de 60 % de la partie continentale des États-Unis a été touchée par des conditions de sécheresse l’été dernier, ce qui a donné lieu aux perspectives de rendement les moins ambitieuses pour le maïs depuis 1995. En conséquence, les prix du maïs ont atteint des sommets inégalés en août, entraînant un resserrement des marges de profit dans le secteur de l’élevage pour le deuxième semestre de 2012. Les stocks mondiaux de céréales et d’oléagineux demeurent extrêmement faibles : on estime que la production mondiale totale pour 2012-2013 devrait être inférieure de près de 4 % au niveau de l’année dernière.
Le dollar canadien
La vigueur du dollar canadien constituait selon nous le quatrième facteur en importance. La croissance économique mondiale s’est faite sur fond de résilience, et ce, malgré l’incertitude. Durant toute l’année, les prix du pétrole sont demeurés élevés, dans une fourchette de 78 $ à 109 $ US le baril. Par conséquent, le dollar canadien s’est transigé dans une fourchette relativement étroite comprise entre 0,97 $ US et 1,03 $ CAN.
Vous devez vous attendre sensiblement à la même chose pour la prochaine année. La vigueur du dollar canadien continue de mettre les agroentreprises au défi d’innover et de réaliser des gains de productivité afin de faire face aux pressions concurrentielles exercées par les entreprises des États-Unis et d’autres entreprises étrangères.
Prix des intrants agricoles
Les prix des intrants agricoles commençaient à grimper de façon marquée vers la fin de 2011, et nous avions abordé la possibilité que les prix de l’engrais et de l’énergie soient élevés durant toute l’année 2012.
Statistique Canada a signalé que les prix des intrants agricoles dépassent de
5 % le niveau observé il y a un an, ce qui représente un accroissement légèrement supérieur à l’augmentation annuelle moyenne de 4 %.
Cette hausse est attribuable en grande partie aux prix de l’engrais, qui ont bondi de 14 %, et aux coûts des aliments pour animaux, qui ont augmenté de 10 %. Les prix de l’essence et du diesel sont demeurés pratiquement inchangés par rapport aux niveaux de l’année dernière.
Les producteurs devraient toujours faire preuve de vigilance et surveiller les prix des intrants; toutefois, les prix élevés des cultures agricoles en 2012 ont plus que compensé les hausses de prix de l’engrais.
En rétrospective, de nombreuses autres questions auraient pu figurer dans notre liste. La valeur des terres agricoles a continué de s’accroître dans la plus grande partie du Canada grâce aux recettes élevées provenant des productions végétales et aux faibles taux d’intérêt. Les conditions météorologiques ont eu des répercussions dans les régions productrices à l’étranger, mais aussi sur des cultures près de chez nous. Les dommages causés aux cultures fruitières de l’Ontario au printemps, la sécheresse qui a sévi dans l’Est de l’Ontario durant l’été et les zones détrempées dans les Prairies ont eu un impact négatif sur les recettes des productions végétales. Par ailleurs, en raison du faible taux de chômage dans l’Ouest canadien, certaines entreprises ont eu beaucoup de difficulté à trouver de la main-d’œuvre qualifiée, ce qui s’est traduit par des salaires plus élevés. Enfin, les niveaux d’endettement accrus des ménages au Canada constituent une préoccupation grandissante pour la solidité future de l’économie canadienne, dans le contexte de la tourmente économique qui perdure dans le monde.
Lisez-nous le mois prochain pour connaître notre palmarès des cinq principaux facteurs économiques pour l’agriculture canadienne en 2013. Les répercussions des facteurs économiques mondiaux sur les producteurs et les agroentreprises canadiens sont difficiles à prévoir. L’adage « penser mondialement mais agir localement » prend tout son sens dans ce contexte. Il est important de mesurer l’efficacité de diverses stratégies commerciales dans différents scénarios économiques. Tout bien considéré, malgré certaines difficultés, l’année
2013 s’annonce fructueuse pour les producteurs et les agroentreprises.
Au début de 2012, nous avons dressé une liste des cinq principaux facteurs économiques que les producteurs et les agroentreprises devraient surveiller. Comme l’année tire à sa fin, le moment est venu de réfléchir aux répercussions que ces facteurs ont eues sur le revenu agricole net et sur la rentabilité de l’industrie agroalimentaire.
La croissance économique mondiale
La croissance des revenus dans les marchés émergents demeure l’un des plus importants moteurs de la demande alimentaire et des prix à la ferme. Par conséquent, nous avions classé les obstacles à la croissance économique mondiale au premier rang des enjeux économiques à surveiller en 2012.
Malheureusement, la crise de la dette souveraine en Europe demeure bien réelle. Outre le ralentissement qu’elle a entraîné dans l’ensemble des économies européennes, la crise a eu des impacts négatifs sur d’autres pays, comme la Chine, dont la croissance économique a ralenti durant l’année. Par chance, la demande mondiale de céréales fourragères, de céréales et de viande est demeurée vigoureuse tout au long de l’année.
L’évolution de l’environnement politique
Au début de l’année, nous savions que l’environnement politique entourant l’agriculture canadienne était appelé à changer, à commencer par la déréglementation de la Commission canadienne du blé.
Les changements subséquents au chapitre de la commercialisation de l’orge et du blé dans l’Ouest canadien ont figuré parmi les plus importants bouleversements auxquels ont été confrontés les producteurs canadiens cette année.
À l’extérieur du Canada, toutefois, l’environnement politique est demeuré essentiellement inchangé.
Du côté des États-Unis, même si la loi agricole (Farm Bill) a expiré en octobre 2012, le Congrès et le président ne se sont toujours pas entendus sur un nouvel ensemble de politiques agricoles pour les producteurs américains. Par ailleurs, les négociations commerciales entre le Canada et l’Union européenne pourraient être finalisées au début de 2013. Et même si le Canada a été admis en 2012 à la table des négociations visant à élargir le Partenariat transpacifique, cela pourrait prendre encore des années avant qu’intervienne une entente qui améliorerait l’accès du Canada aux marchés du Pacifique.
Les perspectives de production
Nous avons placé les conditions de production en Amérique du Sud et dans le Sud-Ouest des États-Unis au troisième rang des principaux facteurs à surveiller.
Nous pressentions que les conditions météorologiques en 2012 pourraient jouer un rôle important; cependant, nous n’avions pas prévu l’ampleur de la sécheresse qui a touché le Midwest des États-Unis et ses répercussions sur les marchés agricoles en 2012 et sur l’ensemble de la prochaine campagne de vente.
Plus de 60 % de la partie continentale des États-Unis a été touchée par des conditions de sécheresse l’été dernier, ce qui a donné lieu aux perspectives de rendement les moins ambitieuses pour le maïs depuis 1995. En conséquence, les prix du maïs ont atteint des sommets inégalés en août, entraînant un resserrement des marges de profit dans le secteur de l’élevage pour le deuxième semestre de 2012. Les stocks mondiaux de céréales et d’oléagineux demeurent extrêmement faibles : on estime que la production mondiale totale pour 2012-2013 devrait être inférieure de près de 4 % au niveau de l’année dernière.
Le dollar canadien
La vigueur du dollar canadien constituait selon nous le quatrième facteur en importance. La croissance économique mondiale s’est faite sur fond de résilience, et ce, malgré l’incertitude. Durant toute l’année, les prix du pétrole sont demeurés élevés, dans une fourchette de 78 $ à 109 $ US le baril. Par conséquent, le dollar canadien s’est transigé dans une fourchette relativement étroite comprise entre 0,97 $ US et 1,03 $ CAN.
Vous devez vous attendre sensiblement à la même chose pour la prochaine année. La vigueur du dollar canadien continue de mettre les agroentreprises au défi d’innover et de réaliser des gains de productivité afin de faire face aux pressions concurrentielles exercées par les entreprises des États-Unis et d’autres entreprises étrangères.
Prix des intrants agricoles
Les prix des intrants agricoles commençaient à grimper de façon marquée vers la fin de 2011, et nous avions abordé la possibilité que les prix de l’engrais et de l’énergie soient élevés durant toute l’année 2012.
Statistique Canada a signalé que les prix des intrants agricoles dépassent de
5 % le niveau observé il y a un an, ce qui représente un accroissement légèrement supérieur à l’augmentation annuelle moyenne de 4 %.
Cette hausse est attribuable en grande partie aux prix de l’engrais, qui ont bondi de 14 %, et aux coûts des aliments pour animaux, qui ont augmenté de 10 %. Les prix de l’essence et du diesel sont demeurés pratiquement inchangés par rapport aux niveaux de l’année dernière.
Les producteurs devraient toujours faire preuve de vigilance et surveiller les prix des intrants; toutefois, les prix élevés des cultures agricoles en 2012 ont plus que compensé les hausses de prix de l’engrais.
En rétrospective, de nombreuses autres questions auraient pu figurer dans notre liste. La valeur des terres agricoles a continué de s’accroître dans la plus grande partie du Canada grâce aux recettes élevées provenant des productions végétales et aux faibles taux d’intérêt. Les conditions météorologiques ont eu des répercussions dans les régions productrices à l’étranger, mais aussi sur des cultures près de chez nous. Les dommages causés aux cultures fruitières de l’Ontario au printemps, la sécheresse qui a sévi dans l’Est de l’Ontario durant l’été et les zones détrempées dans les Prairies ont eu un impact négatif sur les recettes des productions végétales. Par ailleurs, en raison du faible taux de chômage dans l’Ouest canadien, certaines entreprises ont eu beaucoup de difficulté à trouver de la main-d’œuvre qualifiée, ce qui s’est traduit par des salaires plus élevés. Enfin, les niveaux d’endettement accrus des ménages au Canada constituent une préoccupation grandissante pour la solidité future de l’économie canadienne, dans le contexte de la tourmente économique qui perdure dans le monde.
Lisez-nous le mois prochain pour connaître notre palmarès des cinq principaux facteurs économiques pour l’agriculture canadienne en 2013. Les répercussions des facteurs économiques mondiaux sur les producteurs et les agroentreprises canadiens sont difficiles à prévoir. L’adage « penser mondialement mais agir localement » prend tout son sens dans ce contexte. Il est important de mesurer l’efficacité de diverses stratégies commerciales dans différents scénarios économiques. Tout bien considéré, malgré certaines difficultés, l’année
2013 s’annonce fructueuse pour les producteurs et les agroentreprises.
Au début de 2012, nous avons dressé une liste des cinq principaux facteurs économiques que les producteurs et les agroentreprises devraient surveiller. Comme l’année tire à sa fin, le moment est venu de réfléchir aux répercussions que ces facteurs ont eues sur le revenu agricole net et sur la rentabilité de l’industrie agroalimentaire.
La croissance économique mondiale
La croissance des revenus dans les marchés émergents demeure l’un des plus importants moteurs de la demande alimentaire et des prix à la ferme. Par conséquent, nous avions classé les obstacles à la croissance économique mondiale au premier rang des enjeux économiques à surveiller en 2012.
Malheureusement, la crise de la dette souveraine en Europe demeure bien réelle. Outre le ralentissement qu’elle a entraîné dans l’ensemble des économies européennes, la crise a eu des impacts négatifs sur d’autres pays, comme la Chine, dont la croissance économique a ralenti durant l’année. Par chance, la demande mondiale de céréales fourragères, de céréales et de viande est demeurée vigoureuse tout au long de l’année.
L’évolution de l’environnement politique
Au début de l’année, nous savions que l’environnement politique entourant l’agriculture canadienne était appelé à changer, à commencer par la déréglementation de la Commission canadienne du blé.
Les changements subséquents au chapitre de la commercialisation de l’orge et du blé dans l’Ouest canadien ont figuré parmi les plus importants bouleversements auxquels ont été confrontés les producteurs canadiens cette année.
À l’extérieur du Canada, toutefois, l’environnement politique est demeuré essentiellement inchangé.
Du côté des États-Unis, même si la loi agricole (Farm Bill) a expiré en octobre 2012, le Congrès et le président ne se sont toujours pas entendus sur un nouvel ensemble de politiques agricoles pour les producteurs américains. Par ailleurs, les négociations commerciales entre le Canada et l’Union européenne pourraient être finalisées au début de 2013. Et même si le Canada a été admis en 2012 à la table des négociations visant à élargir le Partenariat transpacifique, cela pourrait prendre encore des années avant qu’intervienne une entente qui améliorerait l’accès du Canada aux marchés du Pacifique.
Les perspectives de production
Nous avons placé les conditions de production en Amérique du Sud et dans le Sud-Ouest des États-Unis au troisième rang des principaux facteurs à surveiller.
Nous pressentions que les conditions météorologiques en 2012 pourraient jouer un rôle important; cependant, nous n’avions pas prévu l’ampleur de la sécheresse qui a touché le Midwest des États-Unis et ses répercussions sur les marchés agricoles en 2012 et sur l’ensemble de la prochaine campagne de vente.
Plus de 60 % de la partie continentale des États-Unis a été touchée par des conditions de sécheresse l’été dernier, ce qui a donné lieu aux perspectives de rendement les moins ambitieuses pour le maïs depuis 1995. En conséquence, les prix du maïs ont atteint des sommets inégalés en août, entraînant un resserrement des marges de profit dans le secteur de l’élevage pour le deuxième semestre de 2012. Les stocks mondiaux de céréales et d’oléagineux demeurent extrêmement faibles : on estime que la production mondiale totale pour 2012-2013 devrait être inférieure de près de 4 % au niveau de l’année dernière.
Le dollar canadien
La vigueur du dollar canadien constituait selon nous le quatrième facteur en importance. La croissance économique mondiale s’est faite sur fond de résilience, et ce, malgré l’incertitude. Durant toute l’année, les prix du pétrole sont demeurés élevés, dans une fourchette de 78 $ à 109 $ US le baril. Par conséquent, le dollar canadien s’est transigé dans une fourchette relativement étroite comprise entre 0,97 $ US et 1,03 $ CAN.
Vous devez vous attendre sensiblement à la même chose pour la prochaine année. La vigueur du dollar canadien continue de mettre les agroentreprises au défi d’innover et de réaliser des gains de productivité afin de faire face aux pressions concurrentielles exercées par les entreprises des États-Unis et d’autres entreprises étrangères.
Prix des intrants agricoles
Les prix des intrants agricoles commençaient à grimper de façon marquée vers la fin de 2011, et nous avions abordé la possibilité que les prix de l’engrais et de l’énergie soient élevés durant toute l’année 2012.
Statistique Canada a signalé que les prix des intrants agricoles dépassent de
5 % le niveau observé il y a un an, ce qui représente un accroissement légèrement supérieur à l’augmentation annuelle moyenne de 4 %.
Cette hausse est attribuable en grande partie aux prix de l’engrais, qui ont bondi de 14 %, et aux coûts des aliments pour animaux, qui ont augmenté de 10 %. Les prix de l’essence et du diesel sont demeurés pratiquement inchangés par rapport aux niveaux de l’année dernière.
Les producteurs devraient toujours faire preuve de vigilance et surveiller les prix des intrants; toutefois, les prix élevés des cultures agricoles en 2012 ont plus que compensé les hausses de prix de l’engrais.
En rétrospective, de nombreuses autres questions auraient pu figurer dans notre liste. La valeur des terres agricoles a continué de s’accroître dans la plus grande partie du Canada grâce aux recettes élevées provenant des productions végétales et aux faibles taux d’intérêt. Les conditions météorologiques ont eu des répercussions dans les régions productrices à l’étranger, mais aussi sur des cultures près de chez nous. Les dommages causés aux cultures fruitières de l’Ontario au printemps, la sécheresse qui a sévi dans l’Est de l’Ontario durant l’été et les zones détrempées dans les Prairies ont eu un impact négatif sur les recettes des productions végétales. Par ailleurs, en raison du faible taux de chômage dans l’Ouest canadien, certaines entreprises ont eu beaucoup de difficulté à trouver de la main-d’œuvre qualifiée, ce qui s’est traduit par des salaires plus élevés. Enfin, les niveaux d’endettement accrus des ménages au Canada constituent une préoccupation grandissante pour la solidité future de l’économie canadienne, dans le contexte de la tourmente économique qui perdure dans le monde.
Lisez-nous le mois prochain pour connaître notre palmarès des cinq principaux facteurs économiques pour l’agriculture canadienne en 2013. Les répercussions des facteurs économiques mondiaux sur les producteurs et les agroentreprises canadiens sont difficiles à prévoir. L’adage « penser mondialement mais agir localement » prend tout son sens dans ce contexte. Il est important de mesurer l’efficacité de diverses stratégies commerciales dans différents scénarios économiques. Tout bien considéré, malgré certaines difficultés, l’année
2013 s’annonce fructueuse pour les producteurs et les agroentreprises.